De père indonésien, musicien de jazz, et de mère franco-belge, Lena Ayal est née à Bruxelles. Elle a grandi en écoutant les Big Bands de Duke Ellington, Benny Goodman, Count Basie, Frank Sinatra. "J'entends encore résonner le saxophone de mon père, Joop Ayal, qui pratique ses gammes avant de partir chaque soir travailler", dit-elle.

Tout en chantant, elle parcourt le monde pour finalement poser ses valises à Paris. Ensuite, elle signe son premier album sous le label de Francis Cabrel, en tant qu'auteur-interprète : "Dans cette illusion." Après deux ans de tournées, elle retourne vivre à Bruxelles.

Son dernier projet "It had to be you" est né en 2007 en voyant son père jouer à 82 ans avec toujours ce même enthousiasme et cette joie immense qui l'animent. Cet album reprend 9 standards de jazz, dont "It had to be you", premier extrait, et 2 compositions. Depuis sa plus tendre enfance, ces jolies mélodies l'ont accompagnée."De merveilleux souvenirs qui ont une place particulière dans mon coeur", raconte-t-elle. "Tout en respectant les originaux, j'ai voulu mélanger les générations et les influences. C'est aussi un hommage à mon père, qui m'a transmis cet hymne à la vie, ce goût et cette passion pour la musique. Boucler la boucle.