Inactif Ten-Tamarre

Ten-Tamarre

LA PRESSE
Tout en puissance, le Ten-Tamarre de Félix Simtaine ... élève le swing au plus haut niveau.(Dominique Simonet, La Libre Belgique, 08/2000)

Autre prestation à vous mettre les doigts de pieds en bouquet de pâquerettes, celle de Ten-Tamarre menée par le batteur Félix Simtaine. Swing et punch à revendre pour un jazz qui ne se prend pas la tête. Ellington, Mingus et autres revisités sur de beaux arrangements, avec des solistes généreux, dont le spectaculaire trompettiste argentin Gustavo Bergalli.(André Joassin, Le Soir, 08/2000)

"Fables of Faubus " de Charlie Mingus fut un grand moment.(Jean-Luc Gillet, La Meuse, 08/2000)

Ce tentette évolue dans le jazz chaleureux, musclé et plein de swing dont raffole le batteur et leader Félix Simtaine (Le Soir, 11/2001)

... le combo mené par Félix Simtaine fait sensation. "La démarche d'un groupe comme Ten-Tamarre n'est certainement pas intellectuelle", commente le pianiste Michel Herr. "Il y a des moments où il faut se lâ:cher", renchérit le saxophoniste (ici ténor) Fabrice Alleman, à la suite d'un concert magnifique donné dans ce très dynamique club brugeois qu'est De Werf. Un "tentet" dont les dix membres comptent bien se faire entendre. Comme l'Act Big Band, Ten-Tamarre est basé sur l'association Félix Simtaine-Michel Herr, ce dernier officiant comme directeur musical, arrangeur, compositeur. Le duo est complété par le bassiste Jean-Louis Rassinfosse pour constituer une assise rythmique de choc...
Des souffleurs d'envergure...
Des "Fables of Faubus" prétextes à de joyeux délires collectifs et individuels...
Tout se tient donc ici, et s'il s'appuie sur les trésors du passé, Ten-Tamarre n'en présente pas moins des arrangements très contemporains, des superpositions et des décalages rythmiques ambitieux. Et puis à ce tentet, il faut ajouter le onzième élément, l'humour : tout pro que l'on soit, personne ne se prend jamais trop au sérieux. Ajouté au reste, cela fait de Ten-tamarre une des formations incontournables du moment. (Dominique Simonet, La Libre Belgique, 11/2001)